On respire mieux en Île-de-France, mais des efforts restent à faire
À basse altitude, la situation reste problématique.
Publié : 25 avril 2024 à 7h20
/t:r(unknown)/fit-in/1100x2000/filters:format(webp)/medias/N35FMbJdGz/image/56cae556fd4d22d51c4404a87134_14505691692958771486.jpeg)
Ciel d'été
Crédit : CC0
Airparif a publié hier mercredi son bilan 2023 sur la qualité de l'air. On y apprend qu'elle s'est améliorée l'année dernière par rapport à 2022. C'est le cas depuis vingt ans, mais les résultats piétinent pour l'ozone de basse altitude, un « polluant gazeux nocif pour le système respiratoire ».
Dans le détail, les concentrations en particules fines et en dioxyde d'azote ont baissé en moyenne de 40 % entre 2013 et 2023 en Île-de-France. Les particules fines augmentent « le risque de mortalité lié aux infarctus, aux AVC, au diabète, aux cancers du poumon et le risque de survenue de la maladie de Parkinson », souligne Airparif.
Nicolas Chacun
/t:r(unknown)/fit-in/300x2000/filters:format(webp)/filters:quality(100)/radios/evasion/images/logo_qvwTMiTcTb.png)
/t:r(unknown)/fit-in/500x375/filters:format(webp)/medias/N35FMbJdGz/image/centre_tri_dechets_athis_mons_gsv1765988383370-format4by3.jpg)
/t:r(unknown)/fit-in/500x375/filters:format(webp)/medias/N35FMbJdGz/image/panneau_tracteur1693931707111-format4by3.jpg)
/t:r(unknown)/fit-in/500x375/filters:format(webp)/medias/N35FMbJdGz/image/r_servistes_gendarmerie1674642873651-format4by3.jpg)
/t:r(unknown)/fit-in/500x375/filters:format(webp)/medias/N35FMbJdGz/image/conduire_sa_voiture1743689715600-format4by3.jpg)
/t:r(unknown)/fit-in/400x400/filters:format(webp)/medias/N35FMbJdGz/image/Slider_HOROSCOPES_EVA1752677086858-format1by1.png)
/t:r(unknown)/fit-in/400x225/filters:format(webp)/medias/N35FMbJdGz/image/_SLIDER__PIERRE_GARNIER_AMIENS1763734059077-format16by9.png)