À Draveil, la tension monte entre les soutiens de Georges Tron et ses détracteurs

La condamnation de Georges Tron à 3 ans de prison ferme pour viols et agressions sexuelles mi-février a laissé sa ville, Draveil, sous tensions. Dimanche, trois femmes ont été prises à partie par son premier adjoint qui les a empêchées de poser sur les pare-brise de voitures en stationnement des tracts réclamant la démission de l'édile et conseiller départemental de ses mandats locaux. Des policiers municipaux sont ensuite venus les contrôler. L'opposition s'insurge et attend, elle, aussi que Georges Tron (toujours incarcéré pour le moment malgré sa demande de remise en liberté) quitte ses fonctions. Il en sera évidemment question lors du prochain conseil municipal, vendredi soir.