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18 novembre 2019 à 17h00

EVASION

Les rivières seine-et-marnaises respirent

Les averses qui se sont abattues ces quinze derniers jours sur le département ont permis aux cours d’eau de remonter de façon généralisée. Les débits des grandes rivières continuent d’augmenter légèrement. La préfecture de Seine-et-Marne lève également ses restrictions d’usage de l’eau sur les petites rivières. L’Ancœur, le Grand et le Petit Morin, le Lunain, l’Orvanne, le Réveillon et la Thérouanne restent toutefois en vigilance. Mais les pluies annoncées pour les prochains jours devraient entraîner une remontée de leurs niveaux. Quant aux nappes phréatiques, les indicateurs sont tous au-dessus de la normale.

 

Mieux vaut habiter l’Île-de-France pour changer de lunettes

La région est celle où le délai d’attente pour obtenir un rendez-vous chez un ophtalmologiste est le plus court en France, selon le bilan que vient de révéler le Rassemblement des opticiens de France. Comptez quand même 46,4 jours et même 43,7 jours en Seine-et-Marne, bien en-dessous de la moyenne nationale de 80,6 jours. On est surtout loin du bonnet d’âne en la matière : la région Centre – Val-de-Loire, pourtant voisine, et où il faut s’y prendre à l’avance. Le délai moyen y atteint 118,3 jours, près de quatre mois.

 

La Seine-et-Marne toujours attractive pour ses loyers

Elle conserve des tarifs relativement contenus par rapport aux autres départements franciliens. L’Observatoire des Loyers vient de publier une étude qui recense les loyers dans 423 communes de l’agglomération parisienne. Parmi elles, Réau, Lieusaint, Nandy, Vert-Saint-Denis ou encore Boissise-le-Roi affichent un loyer moyen de 520 euros hors charges pour un logement de 40 m². Il faut compter 576 euros du côté de Combs-la-Ville, Saint-Fargeau-Ponthierry, La Rochette, Cesson, Livry-sur-Seine et Vaux-le-Pénil. Ça grimpe en revanche à 632 euros pour le même logement à Melun, Dammarie-lès-Lys et même Le Mée-sur-Seine. Mais c’est toujours deux fois moins qu’en plein cœur de Paris.

 

Trois Seine-et-Marnaises en finale du concours Créatrices d’Avenir

Elles font partie des quinze candidates sélectionnées pour la reprise ou la création d’une entreprise par une femme. Sophie Hombert concourt notamment dans la catégorie Innovation. Son entreprise, qu’elle a baptisée Aglaé et basée à Vaux-le-Pénil, élabore un sérum nutritif et biodégradable qui permet aux plantes d’émettre de la lumière la nuit. Vanesse Delesderrier brigue quant à elle le trophée Audace. Elle dirige France Scellés à Montry et distribue des systèmes de scellés et accessoires de sécurité à usage unique mais de qualité supérieure. Céline et Marion Crosnier ont, elles, créé un éco-lieu baptisé « Les Ciboulettes » dans la gare de Chelles où elles proposent des repas 100% bio à emporter. Elles visent le trophée Entreprise responsable. La grande finale est prévue le mercredi 27 NOVEMBRE, à Paris.

 

Des opérations job dating pour booster l’apprentissage en Seine-et-Marne

Sept rendez-vous sont programmés d’ici le 05 décembre un peu partout dans le département. Le prochain aura lieu demain, dans l’après-midi à la salle Beaudelet, à Ozoir-la-Ferrière, ou encore mardi prochain, le 26 novembre, à partir de 15h, à la Maison des Services Publics de Chessy. Chaque année, 15.000 postes en apprentissage ne trouvent pas preneur et plusieurs milliers de jeunes se retrouvent malgré tout sans formation.


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