Sénart : les prostituées se rebiffent
Les prostituées de la forêt de Sénart accusent les policiers de « casser leur business » à cause des contrôles à répétition.
15 décembre 2017 à 13h22
Les prostituées de la forêt de Sénart accusent les policiers de « casser leur business » à cause des contrôles à répétition. Les fonctionnaires passeraient au moins trois fois par semaines selon les témoignages recueillis par Le Parisien. Depuis que l'achat de service sexuel est réprimé les habitués se font plus rares. Des caméras de surveillance ont été installées à Tigery pour dissuader les clients. Des clients qui risquent désormais jusqu'à 1.500 euros d'amende. Les péripatéticiennes défendent leur affaire, et rappellent que la prostitution n'est pas interdite en France.