La reconnaissance de l’Etat palestinien par la France ne fait pas l’unanimité chez les politiques

Si à gauche, on parle de « victoire », de l’autre côté, c’est loin d’être le cas. Y compris parmi les ministres. Celui de l’Intérieur, Bruno Retailleau, a même déclaré que « ce n’était pas son choix ». Il avait d’ailleurs interdit les mairies d’arborer le drapeau de la Palestine. Une interdiction bravée par 90 communes. Pour le RN, Marine Le Pen considère que « c’est le ''Hamastan'' que reconnaît Emmanuel Macron, pas la Palestine », évoquant « une faute extrêmement grave ». Le président de la République a, dans son discours à l’ONU, déclaré que « rien ne justifie plus la poursuite de la guerre à Gaza ».

Nicolas Chacun - Brice Charrier