La « police verte » manque de bras en Île-de-France

C'est en tout cas une des conclusions de la toute récente étude de l'Institut Paris Région. Ce dernier pointe des moyens humains et matériels qui ne correspondent pas aux enjeux, et les « sous-effectifs » mis en avant par les agents chargés de défendre l'environnement.

L'Institut souligne aussi l'importance des infractions comme les dépôts sauvages et la « logique de réduction des personnels ». Par ailleurs, si la protection de la nature n'est pas prioritaire pour la police nationale en ville, les gendarmes ont plus tendance à la mettre en avant.

Un point positif toutefois : le déploiement de brigades vertes par certaines communes, qui prennent le sujet à bras-le-corps.

Crédit : Nicolas Chacun