L'Eure-et-Loir continue son plan santé pour lutter contre la désertification médicale

En 2012 et 2013, pas moins de dix professionnels de santé ont bénéficié d’un accompagnement personnalisé du Conseil général.

25 septembre 2014 à 17h55

EVASION

D’ici 10 ans, selon une enquête Ifop, 50 % des médecins généralistes d’Eure-et-Loir partiront en retraite. Un constat inquiétant, d’autant que la santé reste première préoccupation des Euréliens. Pour enrayer cette tendance à la désertification médicale et paramédicale, le Département a adopté le Plan Santé 28. Établi en 2009 et initialement destiné aux médecins et étudiants en médecine, ce dispositif a été élargi en 2011 à tous les professionnels de santé. En 2012 et 2013, pas moins de dix professionnels de santé ont bénéficié d’un accompagnement personnalisé du Conseil général (un pédiatre, trois médecins généralistes, une sage-femme, une infirmière, deux orthoptistes et deux chirurgiens-dentistes).


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