L'agence régionale de santé des Hauts-de-France traque les PFAS dans l'eau potable
Ces substances ont tendance à ne pas se dégrader.
Publié : 17 mai 2024 à 7h25
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Verre d'eau
Crédit : MaxLeMans CC BY 2.0
Ces substances chimiques ont la particularité de très peu se dégrader une fois émises, d'où leur surnom de « polluants éternels ». Alors que les PFAS devront obligatoirement être contrôlés dans l'eau potable à partir du 1er janvier 2026, l'ARS prend les devants en effectuant déjà des analyses.
La première vague de 14 prélèvements, qui a eu lieu à la fois dans l’Oise et la Somme a donné des résultats tous inférieurs aux limites de qualité réglementaires. D'autres prélèvements ont révélé une légère présence dans le Nord. Une troisième vague, à venir, ciblera des sites où des rejets industriels présentent un taux important de PFAS.
Nicolas Chacun
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