Fièvre du Nil occidental : la surveillance des chevaux renforcée en Île-de-France

La préfecture de région indique que ce virus circule surtout chez les oiseaux (sauvages et domestiques). Puis les moustiques transportent la maladie chez les chevaux et parfois même les humains, qualifiés « d'hôtes accidentels ». Actuellement, des échantillons sanguins sont prélevés sur des chevaux près des zones où des cas humains et équins ont été détectés. Les autorités recherchent la présence d'anticorps spécifiques. « En protégeant les chevaux et en surveillant les vecteurs, les autorités espèrent limiter le risque de transmission au grand public », résume l'État.

Nicolas Chacun