En 20 ans, la pollution de l'air francilien a été divisée par deux

Selon Airparif, l'organisme qui surveille la qualité de l'air, les concentrations de dioxyde d'azote (NO2) ont baissé en moyenne de 50% entre 2004 et 2024. Ce gaz polluant peut augmenter le risque de mortalité lié au diabète et aux AVC. Quant aux concentrations de particules fines (PM2.5), elles ont diminué de 55% entre 2004 et 2024. Ces particules sont liées aux maladies du coeur et des poumons. Malgré ces améliorations, la pollution de l'air enlève environ 10 mois d'espérance de vie par adulte en Île-de-France.

Nicolas Chacun