Deux cadres d'un supermarché drouais devant le tribunal correctionnel

Deux cadres d'un supermarché drouais ont été licenciés pour faute grave après avoir harcelé une employée. La jeune femme les accusait de plaisanteries douteuses : ils auraient dessiné des parties intimes d'homme sur son front au marqueur indélébile. Ils se permettaient aussi de lever sa chemise afin de voir son tatouage. Devant le juge ils ont confessé « des gamineries ». C'est la direction de l'enseigne qui a conseillé à la jeune caissière de porter plainte. Les deux anciens cadres sont condamnés à six mois de prison avec sursis et mise à l'épreuve pour harcèlement sexuel par personne abusant de son autorité.