D'ici 2050, l'impact des changements s'annonce moindre pour les cultivateurs en Eure-et-Loir

C'est ce qu'il ressort d'un document de prospective de Bureau T, une cellule de conseil liée à la Caisse des dépôts. L'étude assure qu'en 2050, « le visage de l'agriculture française ne ressemblera plus à celui que nous connaissons ». Les causes des bouleversements annoncés sont multiples : aléas climatiques, « défis fonciers » mais aussi cultures vulnérables. La valeur ajoutée agricole pourrait chuter entre 35% et 40%, affectant des centaines de milliers d'emplois. En Eure-et-Loir, l'impact des changements est anticipé comme « moindre ». Le scénario imagine un modèle agricole français « sans évolution majeure ».

Nicolas Chacun