La pénurie de médecins spécialistes se poursuit dans le nord Yvelines
Le rapport que vient de publier l'URPS médecins libéraux Île-de-France n'est pas fait pour nous rassurer.
Publié : 16 octobre 2019 à 17h09
/t:r(unknown)/fit-in/1100x2000/filters:format(webp)/medias/N35FMbJdGz/IMAGE/54GVN5rurQ.jpg)
Le rapport que vient de publier l'URPS médecins libéraux Île-de-France n'est pas fait pour nous rassurer. Le désert médical risque bien de s'agrandir encore dans les Yvelines dans les prochaines années. Le département a perdu 18% de ses médecins spécialistes, entre 2009 et 2017, toutes disciplines confondues. L'exode concerne surtout les rhumatologues, en baisse de 42%, les gynécologues (-33%) et les psychiatres (-31%). Le manque d'anticipation dans le nombre de médecins à former mais aussi le coût financier trop élevé de l'installation en Île-de-France figurent parmi les principales explications à cette tendance à la baisse, selon l'URPS.
/t:r(unknown)/fit-in/300x2000/filters:format(webp)/filters:quality(100)/radios/evasion/images/logo_qvwTMiTcTb.png)
/t:r(unknown)/fit-in/500x375/filters:format(webp)/medias/N35FMbJdGz/image/peasant_protest_8495878_12801706707683765-format4by3.jpg)
/t:r(unknown)/fit-in/500x375/filters:format(webp)/medias/N35FMbJdGz/image/360108915_665855398916910_555266571138442923_n1690310285453-format4by3.jpg)
/t:r(unknown)/fit-in/500x375/filters:format(webp)/medias/N35FMbJdGz/image/bar_209148_19201765776977613-format4by3.jpg)
/t:r(unknown)/fit-in/500x375/filters:format(webp)/medias/N35FMbJdGz/image/384344014_803640261765087_8353846911307939210_n1695831102005-format4by3.jpg)
/t:r(unknown)/fit-in/400x400/filters:format(webp)/medias/N35FMbJdGz/image/Slider_HOROSCOPES_EVA1752677086858-format1by1.png)
/t:r(unknown)/fit-in/400x225/filters:format(webp)/medias/N35FMbJdGz/image/_SLIDER__ESME_E_SWITCH1765619383085-format16by9.png)